Bilan du vécu douloureux

Dépression et mal être en guise de petit déjeuner et d’oreiller…

« Du matin jusqu’au soir, du lundi au dimanche, 365 jours sur 365.

Voilà maintenant des années que la souffrance est devenue son « amie ». 

Le diagnostic familial est également tombé : elle est dépressive. Elle va mal… depuis trop longtemps. Tout le monde le voit, elle ne peut plus faire semblant.

Mais il y a un problème : elle ne sait plus de quoi elle souffre vraiment, elle ne sait plus dire pourquoi, sa détresse est tellement immense… Elle est perdue et désespérée. Ses yeux sont éteints, son teint est livide, elle a changé de visage. Son désespoir est désormais sa nouvelle cynique carte de visite. Ses proches sont impuissants et ne trouvent plus les mots réconfortants qui auparavant suffisaient à l’apaiser, ne serait ce que ponctuellement.

Il faut faire quelque chose très vite avant qu’un drame ne se produise. La peur se lit sur les visages et l’angoisse se ressent, de plus en plus fort, à chaque échange ». 

Ce récit, Isabelle CAZAL et Jean-Pierre CAUVER, Spécialistes EMDR – Formateurs du cabinet Renaissance à Limoges, spécialistes de l’E.M.D.R.*, le connaissent par coeur. Il commence déjà au téléphone lors du premier contact avec leur clientèle. Les larmes et la voix abimée s’invitent parfois même à la conversation. L’urgence est au rendez-vous pour ces femmes et ces hommes en mal être profond. Ils ont perdu leur discernement et sont submergés par leurs émotions.

Comment faire pour les aider ? 

Isabelle CAZAL et Jean-Pierre CAUVER proposent systématiquement la réalisation d’un bilan thérapeutique précis, accompagné d’une proposition thérapeutique adaptée. 

Pour faire simple et imagée leurs propos, ils aiment expliquer leur méthodologie de la façon suivante : il ouvre le local à poubelles dans la tête des personnes pour y répertorier tout le vécu douloureux, qu’il soit « petit » ou « grand » ou qu’il soit traumatique. Aucune obligation chronologique est imposée. Le client peut s’exprimer en toute liberté.

Pour être efficace, cette première partie de la consultation fait appel à plusieurs outils utilisés par ces thérapeutes, notamment une écoute active, accompagnée d’une prise de note sous forme « Mind Mapping » donc plus imagée et une observation pointilleuse de la communication non verbale de leurs clients. 

En effet, le corps parle toujours plus vite que les mots exprimés ; il est le siège des émotions, le témoin de la souffrance, inenvisageable pour eux de le négliger.

En deuxième partie de bilan, les thérapeutes se livrent un exercice qui s’avère parfois difficile notamment pour les récits complexes. Ils font ce qu’ils appellent du « tri sélectif » pour mettre dans des « containers » les souffrances dites,   « co-latérales ». 

David SERVAN SCHREIBER, professeur regretté, a très bien démontré dans son best-seller « Guérir » un élément important des mécanismes du cerveau limbique (siège des émotions et des souvenirs) : il suffit d’un seul élément du traumatisme pour réactiver l’ensemble du traumatisme. 

Sur ce même base de mécanisme, par expériences et les témoignages sur le site de Renaissance en relatent, Isabelle CAZAL et Jean-Pierre CAUVER pratiquent l’E.M.D.R. en une seule séance par thème de traumatismes et refusent catégoriquement de fidéliser leur clientèle. 

Explication : L’objectif du bilan thérapeutique tel qu’ils le pratiquent permet d’identifier la ou les séances d’E.M.D.R non co-latérales nécessaires pour apporter un apaisement total à la clientèle. 

Et quand l’image de soi est au ras des pâquerettes, ils enseignent aux nouveaux « réparés » des techniques de gestion du stress, de l’anxiété, de la douleur et des émotions. Vaste programme orchestré en 6 consultations de coaching espacées de 8 à 10 jours, et pour les dépendants, les addictions ou encore les grands anxieux, 6 consultations complémentaires espacées d’un mois chacune.

L’autonomie, la liberté de vie et le bien-être de leurs clients est le fer de lance de ces thérapeutes limougeauds.

Rendez-vous sur leur site www.renaissance-emdr.fr