Les risques de l’EMDR

Pas de risque létal !
Sans l’EMDR, je serai morte !

Sincère et tellement touchante, cette déclaration d’une cliente à la fin d’une  consultation très vivide nous a profondément émus.

 Si nous avions fractionné à l’envi le travail le réparation comme cela se produit très régulièrement dans la profession, sans nul doute que cette cliente aurait mise fin à ses jours avant la fin de la thérapie.

 Notre modèle clinique de Turbo Thėrapie  Apaisante se résumant à un bilan et deux consultations d’EMDR sur deux thèmes  douloureux différents a prouvé sa pleine efficacité.

Nous sommes heureux d’avoir évité un risque létal et de n’avoir pris…aucun risque !

Les risques de l’EMDR… Les Thérapeutes

Dans une étude sur 80 personnes de la très pointilleuse revue américaine, American Journal of Psychiatry volume 149 (11) pages 1587-1588, il est fait état que 80% des patients ne montrait quasiment plus de symptômes  d’ESPT (État de Stress Post-Traumatique après-3 séances d’EMDR. C’est dire la puissance de guérison de l’EMDR pour apaiser une personne victime d’une guerre, d’un viol, d’un attentat, d’un deuil, d’un accident, d’une agression physique…

Étonnamment dans notre beau pays ou la psychothérapie est toujours sous l’influence de la psychanalyse (qui n’a du reste jamais démontré une quelconque efficacité dans la guérison d’une douleur psychologique et ce malgré pléthore de rendez-vous sur plusieurs années le plus souvent…)
 Étonnamment donc, la technique EMDR est à ce jour « diluée » dans une psychothérapie traditionnelle qui varie en fonction de l’obédience du thérapeute.

 Il existe une complexification du trouble lié à un évènement douloureux afin de  » fidéliser  » une relation thérapeutique.

 Nous sommes à des années lumières du modèle One shot ( un tir ) comme disent les Américains.

Il nous est Important de rappeler le modèle clinique que nous utilisons depuis 17 ans.

 La Turbo Thérapie Apaisante c’est :
1 bilan + 1 séance d’EMDR = 1 apaisement durable garanti sur 1 thème douloureux.

Force est de constater que nous sommes des ovnis dans la profession car nous recevons souvent des clients qui ont déjà à leur actif 10, 20 séances d’EMDR, sans résultat probant…

Notre record viens de cette dame venue spécialement de la Réunion après avoir vécu en local… 52 séances d’EMDR. 

Le site qui se veut  » Le  » référent en France n’hésite pas à annoncer que dans certaines douleurs complexes notamment dans les abus sexuels, il faudra prévoir plusieurs dizaines de séances ! Pourquoi faire simple lorsque l’on peut faire compliqué…La messe est dite ( qui veut littéralement dire, vos prières sont envoyées à Dieu).

Pour enfoncer le clou, prenez le risque de demander un devis et demandez au thérapeute qui s’apprête à vous recevoir s’il vous garantit son travail ?
 Attendez-vous à des réponses…surprenantes.

Nous vous conseillons, avant de vous engager   de contacter plusieurs thérapeutes afin d’évaluer sereinement les prestations proposées.
Vous réduirez ainsi les risques d’une grosse déception. 

Les risques de l’EMDR dans le deuil…la guérison !

Savamment entretenu par la religion et la psychothérapie traditionnelle,  nos concitoyens pensent qu’ils ont un « devoir » de souffrance vis-à-vis du défunt.

Comme-si la douleur de la perte ne suffisait pas , il fallait rajouter la « peine perpétuelle » de la souffrance pour ne pas oublier l’être cher.

Dans les années 1960 une psychiatre célèbre K.R. avait déterminé avec moult arguments les 5 étapes du deuil : le déni, la colère, la négociation, la dépression et… l’acceptation !Cette théorie fumeuse est encore valide de nos jours dans la tête de beaucoup de psy.

Fort de notre expérience sur 17 ans de pratique, nous prendrons le risque d’affirmer que  cette  pseudo-guérison qui doit s’étaler sur une période de 1 à 2 ans (quand même) d’après l’auteure n’est à notre humble avis qu’un pis-aller intellectuel ou cognitif mais ne constitue en aucun cas une guérison. La raison est fort simple, nous sommes gouvernés non par notre pensée mais bien par nos émotions ! (merci Antonio Damasio) celles-ci (la joie, la tristesse la colère, le dégoût, le mépris, la surprise et la peur) sont stockées dans les amygdales du cerveau limbique. 

Guérir d’un deuil c’est revisiter l’événement douloureux ou traumatisant engrammé dans l’hippocampe (situé à deux pas de l’amygdale) qui gère les souvenirs et intervient dans la mémorisation et apaiser avec l’EMDR les émotions associées.L’événement revisité et ensuite archivé dans les mémoires les nuits qui suivent et aucun risque de rechute.

À notre cabinet sur ce sujet et depuis toujours c’est un bilan plus une séance d’EMDR pour un apaisement durable garanti. Cela s’appelle la Turbo Thérapie Apaisante.

 Merci à Francine Shapiro la découvreuse de l’EMDR en 1987, merci à David Servan-Schreiber notre cher professeur disparu  qui a médiatisé dès 2003 cette « merveilleuse technique  » comme il se plaisait à le dire.