Faire Savoir notre Savoir Faire EMDR

Notre savoir faire EMDR prends ses origines dans l’enseignement initial de feu le Pr David Servan-Schreiber, dont nous sommes restés fidèles.

En 2003, il fallait une consultation d’environ 7 h (avec pauses !) pour aider une cliente victime d’un traumatisme psychologique ou d’une grande souffrance émotionnelle à guérir.

En 2008, c’est 30% d’efficacité supplémentaire et de gain de temps qu’apporte le concept du Mind Mapping.

En 2010, avec l’arrivée d’Isabelle et le travail en binôme, ce sont 2 consultations complètes que nous pouvons mener par jour.

Nous recevons deux clients(es) par jour, l’un le matin et l’autre l’après-midi, pour chacun une consultation bilan et une séance d’EMDR.

À partir de notre modèle clinique de l’EMDR, un traumatisme psychologique (petit ou grand), une consultation d’EMDR, un apaisement durable, nous avons développé 3 approches complémentaires de l’EMDR :

  • L’EMDR d’anticipation (permettre au cerveau de guérir par avance d’un traumatisme psychologique à venir, petit ou grand), comme le décès d’un proche, la peur d’un RDV, d’un examen …
  • L’EMDR de groupe : pour un groupe de personnes ayant vécu le même traumatisme (attentat, catastrophe naturelle …)
  • L’auto-EMDR : Dans le cadre du coaching nous enseignons une version « allégée » du protocole initial. C’est s’auto-apaiser de « mini » traumatismes qui peuvent gâcher notre existence. Il est bien entendu que notre élève a été apaisé par nos soins de ses grandes souffrances psychologiques au préalable. Condition sine qua non à la mise en place de tout coaching.

Explications sur L’EMDR par David SERVAN SCHEIBER

LE KISUNA japonais 2011

C’est le kanji (système d’écriture calligraphique de plus de 2 000 signes) choisi par une majorité de japonais pour symboliser les catastrophes survenues en 2011. Pour mémoire, un tremblement de terre, suivi d’un tsunami et l’explosion de la centrale nucléaire de Fukushima.

Le Kisuna signifie le « LIEN » qu’ont tissé les japonais entre eux face à l’adversité et la nécessaire solidarité entre les habitants.

En consultation, le Kisuna est aussi le lien qui est établi entre les thérapeutes et la cliente pour l’aider à s’autoguérir d’une grande souffrance psychologique.

Il est aussi un pont entre le passé douloureux et l’avenir apaisé.